Peu de sociétés offrant des services en ligne peuvent se vanter de disposer d'une politique de confidentialité suffisamment courte et claire pour pouvoir être lue et comprise par ses utilisateurs. C'est notamment le cas d'AVG, qui vient, comme promis par son patron Gary Kovacs il y a quelques mois, de la mettre à jour afin de faire preuve de plus de transparence sur ses activités. Certains utilisateurs ont ainsi découvert que pour continuer à être proposé gratuitement son antivirus, censé protéger contre les logiciels espions, pouvait aussi se donner le droit de collecter et de revendre à des tiers certaines de leurs données «non personnelles», à savoir celles qui ne permettent pas de les identifier.
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