vendredi 4 septembre 2015

Darknet, le web à l’état brut

Max S., 20 ans, est face aux juges de Leipzig. Ce criminel de chambre aurait écoulé 914 kg de drogues, dont du LSD, de la cocaïne et de l’ecstasy, en ne décollant pas ses yeux de son écran d’ordinateur. Son mode opératoire n’a rien de neuf et est déjà expliqué en détail ci et là. Max a utilisé le darknet -un réseau garantissant l’anonymat- pour accéder au "deep web", le web profond inaccessible aux internautes lambda. C’est tout le paradoxe du darknet : les trafiquants de drogue y côtoient sans le savoir des dissidents politiques ou des lanceurs d’alerte. Bien ou mal, le web enterré ? Allez, on plonge…

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