Si les marchés noirs ont fait les gros titres lors de la fermeture de Silk Road, de récentes données compilées par des chercheurs laissent penser que ce secteur de vente illégale continue de prospérer, et ce malgré les efforts et opérations visant à interrompre l’activité des principales plateformes.
Deux ans après l’arrestation de Ross Ulbricht, les blacks markets restent actifs et de nombreux nouveaux entrants se sont empressés de prendre la place de Silk Road. Accessibles via les réseaux Tor ou L2p, ces sites jouent la carte de l’anonymat pour échapper aux autorités et proposer en ligne des places de marché illégales permettant l’échange et l’achat de marchandises prohibées telles que des drogues ou des armes.
Face à la prolifération de ces sites, les autorités ne restent pas inactives et multiplient les opérations de coopération internationale visant à mettre hors service ces plateformes de vente illégales : en fin d’année dernière, l’opération Onymous s’attaquait ainsi à plusieurs sites illégaux qui tentaient de reprendre à leur compte « l’héritage » et les clients du défunt Silk Road. L’opération avait conduit à la fermeture de 27 sites et à 17 interpellations.
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